La Rosière, ses montagnes, et son golf mooxy touch

La Rosière, ses montagnes, et son golf mooxy touch

“ La montagne d’accord, on avait compris en lisant le site que c’était un sujet chouchou mais le golf, mooxy, qu’est-ce que ça fait là ? “

Ah ben oui, on est comme ça, pleines de suprises. En bonnes techniciennes, on a surtout choisi de ne pas disperser les messages sur notre site : on fait de la communication responsable, on réfléchit avant de produire de beaux outils, viendez les gens. Ce qu’on a coupé au montage, ce sont les “mais pas que…” et c’est là que se cache, entre autres, l’accompagnement stratégique du développement de structures golfiques dont celui du Golf de la Rosière avec aux manettes, notre cofondatrice Fanny Pontabry bien à sa place dans ses bottes d’ingénieur, golfeuse, prospectiviste et urbaniste de parcours.

Auditer pour mieux actionner

Tout a commencé en 2017 avec un appel du Directeur de l’Office du Tourisme de La Rosière – Espace SanBernardo (en vulgarisation géographique on dirait d’un lieu canon niché à 1 850 mètres d’altitude) pour faire un audit du golf de La Rosière. Ensemble, on a livré un diagnostic stratégique aux petits oignons avec un plan d’actions autour de 3 axes :

  • Ce qui pouvait être fait en autonomie > tout a été mis en place. Bilan : +40% de CA dès l’été suivant.
  • Les travaux d’aménagement > création d’un practice de golf moyennant un accompagnement à maitrise d’ouvrage pour sa réalisation.
  • La définition du cadre pour un nouveau système de gestion de l’équipement public privé rentable > accompagnement à l’élaboration du cahier des charges pour passage du golf en DSP et création du nouveau club-house / resto d’altitude.

Aligner, transformer, diversifier : les conditions d’un modèle qui fonctionne !

6 ans après, il est vraiment bon de bénéficier, sur ce golf de La Rosière, d’un practice performant donnant sur l’une des plus belles vues de France et d’un club-house à faire pâlir les grosses machines franciliennes ! Mais surtout, c’est une fierté, à l’heure où le golf et la montagne illustrent régulièrement les interrogations sociaux-environnementales dans les médias, d’avoir proposé un modèle été-hiver qui tire parti des moyens de l’hiver actuel (resto d’altitude) pour aider la transition vers des infrastructure estivales à fortes valeur futures.